Naissances à venir, 2023

OC ibérique : Ibaïa de L'Hyrôme X Te Quiero de Répand, poulain ou pouliche de couleur attendu, avec une chance sur deux d'avoir du pie

OC PRE : Duna LOP X Idilio de Santon, poulain ou pouliche 50% palomino ou 50% alezan

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L'élevage est une passion au quotidien. Nous avons débutés avec les Haflinger en 2013 (une race que j'affectionne particulièrement). Par la suite nous comptons continuer à faire naître 1 à 2 poulains par an afin de toujours garder du temps pour les éduquer correctement.

Ma base d'élevage est la sélection en priorité du mental. Si l'on désire un poulain calme et facile dès le départ, c'est grâce en partie à sa maman qui va lui montrer les bons comportement à adopter. Actuellement je n'ai plus que Kenya ma première jument comme poulinière sur place, la relève sera sûrement assurée par Ibaïa dans quelques années. Mon but n'est pas de produire à tout va, mais de pouvoir proposer des poulains gentils, faciles, bien dans leurs têtes, pour le loisir (j'entends par loisir, un futur cheval qui sera partant aussi bien pour aller sauter, que pour randonner sur plusieurs dizaines de kilomètres), et pour toute la famille.

Mes juments passent toutes par la valorisation notamment en qualifications loisirs, junior, puis monté. A ce jour, toutes ont été ÉLITES en tests de comportement.

Mes poulains naissent soit en box sous surveillance (si période pluvieuse et venteuse, en mars notamment), ou dehors sous surveillance aussi, nous disposons d'une pâture où nous pouvons observer toute la journée ce qu'il se passe. En général tout se passe sans encombre, la première journée je laisse la maman et bébé tranquilles, en étant présente sans m'imposer. Les jours qui suivent je vais surtout voir les juments, et j'essaie de faire connaissance avec le poulain. Certains peuvent êtres timides, d'autres plus curieux. Mais le contact se fait en général très rapidement. Durant les premiers mois j'initie le poulain à toute l'éducation de base : licol, marcher en longe, l'attache, le pansage, le van, etc. Et on se promène aussi aux alentours avec maman. Tout se fait sereinement, sans braquer le jeune animal.

Depuis 2017, j'ai également fais tester mes futures reproductrices concernant la maladie génétique : la PSSM, une maladie qui touche les muscles du cheval et pouvant provoquer sa mort. Mes pouliches sont donc saines, et produiront des poulains sains vis-à-vis de cette maladie.